Après les terribles attentats qui ont endeuillé Paris le 13 Novembre dernier, le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal a bien sûr condamné, avec la plus grande vigueur, ces lâches attaques, tout en exprimant sa solidarité au peuple français. Néanmoins, fidèle à lui même, il n'a pas manqué de manifester son étonnement quant à la reprise de la Marseillaise, un peu partout en France, durant les jours qui ont suivi le drame.
"Pourquoi ont-ils chanté la Marseillaise, s'est-il demandé devant un groupe de députés à Alger. Pour autant que je sache, le drame a eu lieu à Paris, pas à Marseille ! Ils auraient du chanter la Parisienne ! "